Hoarau
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Dominique Pierre HOARAU (1733-1811)
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Elécie HOARAU
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Joseph Louis HOARAU (1773-1815) - Marie Geneviève MONDON (1777-1803)
Hoarau
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"Ce clan, enrichi par des vols de café, est la terreur de Saint Louis"
"Ce clan s'est toujours illustré par des brigandages"
"certains maîtres, trop pauvres pour pouvoir acheter des esclaves vivent du kidnapping d'esclaves marons (...) Ils les arretent, leur font croire qu'ils les ont acheté
et qu'ils sont par conséquent leur nouveaux maîtres, les retiennent chez eux et les exploitent comme s'ils étaient leur propriété propre"
"Leur beau-frère Lecomte est accusé de faux"
Dominique Pierre HOARAU (1733-1811)
"Dominique vole les animaux, notamment les moutons, donne des bals et des fêtes accessibles aux Noirs"
Bien que marié, vit publiquement avec une de ses nièces
Joseph Louis HOARAU (1773-1815)
"Implanté dans les Hauts de Saint Louis, au lieu-dit Bras de Pontho"?
1791 Piqueur (surveillant de chantiers pour la Commune). "Utilisait la faiblesse du maire Pascalis pour utiliser à sa guise les esclaves de Commune et de chaîne.. Malgré les preuves accablantes contre Joseph Hoarau, les autorités dionysiennes se contentent de l'élargir. Il est placé sous le contrôle de la municipalité de Saint Denis devant laquelle il doit se présenter trois fois par décade, avec interdiction de sortir du canton sans l'autorisation de l'Assemblée coloniale. Cette clémence injustifiée pousse les membres de ce clan à continuer leurs méfaits et à se croire au dessus des lois"
1794: reçoit un blâme du Directoire pour une rixe avec un officier de la Garde Nationale.
Avec ses frères force une patrouille de nuit à relacher deux esclaves arrétés
juillet 1896: "dénoncé par le commandant de la garde nationale pour injures, menaces, refus d'obéir à son ordre de service et menaces de mort.
Bien que marié, vit publiquement avec une fille de Michel Rivière de Saint Joseph
divorce
affranchissement de Agathe
1814: ses esclaves sont accusés d'avoir attaqué le convoi transportant à Saint Denis le produit des impositions des quartiers du Sud de la colonie dans la nuit du 6 au 7 septembre 1814, entre Saint Louis et Saint Leu. L'enquête révèle que
"Il attire autoritairement chez lui des esclaves marons, dont il change les noms pour les soustraire tant à leur maître qu'à la justice. Il les conserve grace à la ruse, en leur faisant croire qu'ils sont devenus sa propriété. Ils sont étroitement surveillés par son fils et son économe. Il les habille comme des gens libres pour qu'ils ne soient pas arrétés par des détachements lorsqu'ils sont envoyés en mission en ville. (...) Ils travaillent à son profit dans ses champs. (...) Non content d'avoir des bras gratuitement, il les somme de commettre des vols (..) Après chaque opération, il supprime les suspects.
Elécie HOARAU
en 1820, à la morts du curé, tout ne semble pas se passer pour le mieux. Et, pour faire valoir leurs droits Cécile et sa fille Antoinette, sont contraintes de nommer Elécie Hoarau, huissier, pour procureur général et spécial.
. Elécie Hoarau se porte à nouveau témoin lors de l'acte de vente du terrain à La Chapelle en 1835.
SOURCES
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.Prosper Eve "Les esclaves de Bourbon, la mer et la montagne", page 285
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ADR, L494 Dossier Joseph Hoarau